Biography
At the beginning of Martha-Jane’s journey to release her first EP in 2024, is a bowl of chocolate cereals and a television, on a Sunday morning of September 2001, in suburban Paris. The screen put light on a black fedora and a sparkling glove. And while the Western world experienced a major geopolitical upheaval, a little girl found a beacon that would never leave her.
This marked the beginning of years spent in choir, dance, and diligently reading record sleeve credits. She became involved in music-related associations and organized studio meetings with artists whose names adorned those CD booklets. Eventually, she found her place in the music business.
But a year before Covid put our lives on hold, she learnt that hers might not be as long as expected. Guts problems, apparently. Suddenly, everything became urgent, starting with giving herself permission to create “her music”. She thus spent two years learning music theory in jazz and contemporary music schools. This allowed her to deepen her understanding of her influences, ranging from Stevie Wonder to Carole King, Steely Dan, Minnie Riperton, and Michael Jackson.
Through her music, she expresses a blend of happy nostalgia, introspection, a sense of place, and the importance of following one’s gut.
À l’origine du premier EP de Martha-Jane à sortir début 2024, il y a un bol de Coco Pops et une télévision allumée, un dimanche matin de septembre 2001, en banlieue parisienne. L’écran s’arrête sur un fédora noir et un unique gant à paillettes et alors que le monde occidental vit un chamboulement géopolitique majeur, une petite fille vient de trouver un repère qui ne la quittera plus.
S’en suivent des années de chorale, de danse, de lectures assidues des crédits de pochettes de disques, d’implication dans des associations dédiées à la musique et l’organisation de rencontres en studio avec quelques-uns de ces noms qui la font rêver.
Mais un an avant que le covid ne mette toutes nos vies en pause, elle apprend que la sienne pourrait ne pas durer aussi longtemps que prévu. Le ventre, apparemment. Alors tout devient urgent, à commencer par se donner l’autorisation de faire “sa musique”. La composition et l’écriture arrivent alors qu’elle consacre deux années à apprendre la théorie musicale au sein d’écoles de jazz et de musiques actuelles. Elle y laisse naturellement s’exprimer ses influences, de Stevie Wonder à Carole King, Steely Dan, Minnie Riperton, ou Michael Jackson, et écrit cette nostalgie heureuse, introspective, et cet amour viscéral – si viscéral – de la vie.
E: marion@liquidpathrecords.com